Archives de catégorie : Généralités

Les Personnes Toxiques de votre Environnement…

Quand on connaît le principe vibratoire et comment fonctionne le mental, on comprend l’importance de choisir son environnement. Dans « environnement » on entend les personnes, les lieux, les objets, les images, les couleurs, les odeurs et leur taux vibratoire.

Pâques reste pour moi un souvenir qui a marqué un tournant dans ma vie quand j’avais 10 ans. J’étais en colonie de vacances à une époque où la folie des normes n’était pas encore née. Nous pouvions vivre tout simplement et les colonies de vacances n’étaient pas affligées par cette lourdeur administrative européenne qui crée finalement ce que l’on appelle la tiédeur mortifère (je reviendrai sur ce sujet dans un autre article).

Bref, c’était le matin du dimanche de Pâques et je fus réveillé par un bruit bizarre sous mon oreiller.

Je passai la main dessous et je trouvai un petit sac avec des œufs en sucre dedans. J’en goûtai un. Il y avait une sorte de liqueur à l’intérieur, encore plus sucrée que la coquille de l’œuf, trop sucrée en fait, écœurante serait un mot plus approprié.

« Whoua, tu as eu des œufs de Pâques ? Quelle chance ! » me dit un camarade de chambre.
« Vous n’en avez pas eu ? » demandai-je étonné.
« Non » répondirent-ils.
Alors je partageai mes œufs de Pâques, que de toute façon je trouvai trop sucrés… Il y en avait onze dans le sachet donc j’en donnais deux à chacun et j’en gardais trois pour moi.

Ils mangèrent les œufs et au bout d’un moment trop impatients pour attendre, ils sortirent leurs sachets, apparemment bien plus remplis que le mien et se mirent à en manger devant moi. Je compris alors l’origine du « bruit » qui m’avait réveillé : pendant que je dormais, ils me volaient mes œufs de Pâques.

Heureusement qu’ils étaient trop sucrés, écœurants, parce que face à tant de bassesse, on peut facilement tomber dans la colère ou dans des énergies extrêmement basses. Finalement, ce jour-là, j’apprenais comment le mensonge, la vilénie, la bassesse, le vol (aujourd’hui je dirais « la soustraction frauduleuse de la chose d’autrui ») étaient étroitement liés et n’existaient pas que dans les films… Alors je me mis en état « d’observateur ». C’est un état que j’ai très rarement quitté depuis. Je regarde le monde avec une sorte de froideur et en fonction de l’émotion qui monte à l’intérieur de moi je prends ma décision.

Difficile de rester en paix dans un monde pareil, n’est-ce pas ? Et pourtant, tout ce qui nous met en colère, nous irrite, nous stresse, crée des cellules délétères pour notre santé.

Alors durant ce séjour de quinze jours, j’appris aussi à devenir l’homme gris, celui qui est tellement insignifiant qu’il en devient transparent, pour ne pas dire invisible. Hors de question pour moi de partager quoique ce soit avec ces « camarades de chambre » devenus des « colocataires imposés »… Je m’éclipsais le matin après le petit déjeuner, faisais un court passage à la cantine le midi et le soir, et il m’arrivait d’aller me balader la nuit. C’est pendant cette période que j’ai compris l’importance des moments de solitude au contact de la nature afin de se ressourcer. On est mieux seul qu’au milieu de personnes toxiques et apparemment si la valeur ne compte pas le nombre des années, la toxicité non plus. Les personnes toxiques peuvent l’être dès le plus jeune âge…

Je n’avais rien d’intéressant à faire avec ces gosses qui se chamaillaient, se frappaient, se volaient, se mentaient et s’insultaient régulièrement… Difficile de rester à l’écart de personnes aussi toxiques quand on est dans un groupe formé de force par le jeu des intérêts. C’est aussi ce que l’on peut vivre quand on est employé dans une société et qu’il apparaît difficile de démissionner parce que l’on a un crédit à rembourser. On se sent mal au milieu de ces personnes, mais on ne peut pas partir parce qu’en plus, on se sent piégé par la situation ce qui fait que l’on se sent encore plus mal. Pas toujours facile non plus d’utiliser la stratégie de l’homme gris.

Aujourd’hui j’ai un mantra qui fonctionne super bien face aux personnes toxiques : « je m’aime et je me pardonne ».

Et c’est là où je voulais en venir : à chaque fois qu’une personne, une situation ou une idée fait baisser ma vibration, je mets mon bouclier vibratoire en fonction, « je m’aime et je me pardonne de vivre cela« , d’entendre cela, de voir cela etc.. Mais il faut réussir à garder un regard de paix sur ce monde pour pouvoir juger ce que l’on vit et prendre la bonne décision. Sans jugement, pas de discernement et vous vous condamnez à subir plutôt qu’à agir.
Il faut savoir juger sans condamner pour pouvoir agir avec bienveillance. Se laisser faire c’est être malveillant avec soi-même. D’où l’importance de garder son sang froid pour agir plutôt que de réagir.

Si vous êtes mal dans votre emploi, par exemple, tout plaquer n’est pas la bonne solution; c’est une réaction qui pourrait vous nuire. Par contre préparer son départ et rester stable émotionnellement avec ce mantra n’est plus une réaction, c’est l’action qui va changer votre vie et du coup la situation devient plus acceptable puisqu’elle est désormais « temporaire ».

Je pourrais bien vous donner des dizaines d’exemples de personnes ou d’environnements toxiques, je préfère vous laisser réfléchir, vous souhaiter de surtout bien prendre soin de vous et de vous poser cette question : et vous, que faites vous pour garder votre calme face aux personnes toxiques ?

Se débarrasser des microplastiques dans le corps.

J’ai envie de dire « si seulement il n’y avait que ça »… Cela fait des années que j’explique que si sur 0.04% de Co2 dans l’atmosphère nous serions responsable de 5% environs cela n’est pas le problème. Mes inquiétudes ont toujours porté sur l’acidification des océans, les produits chimiques, les plastiques, les nouvelles bactéries qui sont des problèmes majeurs dans nos vies.

Alors vous pourriez dire: mais quel rapport avec le corps humain ? C’est pourtant simple, nous ne vivons pas « sur » la planète mais « dans » la planète. Nous sommes une conscience dans un corps qui est une cellule d’un tout. Si ce tout, que nous appelons « planète » est pollué, cette pollution arrivera un jour dans nos corps puisque nos corps font partie intégrante de la planète.

Cette eau acidifiée de l’Océan est bourrée de microplastique qui en plus de l’empêcher d’absorber le surplus de Co2 (source https://www.iaea.org/fr/newscenter/news/quest-ce-que-lacidification-des-oceans et https://www.ifremer.fr/fr/ressources/ocean-sous-pressions-comment-les-organismes-marins-reagissent-ils) finiront par se retrouver dans la chaine alimentaire. Poisson, oiseau, terre, plante, légume, animaux, humains sont un trajet parmi tant d’autre que les microplastiques empruntent pour atterrir dans nos corps.

Bien qu’invisibles, ils sont omniprésents et nous en ingérons quotidiennement. Il est plus que temps d’agir, mais déjà je peux vous dire que ceux qui prennent soin de leur corps sont bien entendu les moins touchés. Pour une fois le wiki a un article intéressant : https://fr.wikipedia.org/wiki/Microplastique

Guillaume Duflos de l’agence ANSES expliquait que l’on peut les retrouver partout et le risque pour la santé humaine est réel (source : https://ideal.univ-littoral.fr/plateaux-technologiques/nano-microplastiques/ ).

Une autre étude plus poussée sur science directe tire la sonnette d’alarme « Les conséquences délétères de la pollution plastique sur l’environnement et les organismes sont désormais bien établies (Bucci et al., 2019). Inévitablement, les PM pénètrent dans la chaîne alimentaire, des études convergentes signalant leur présence dans l’eau potable et plusieurs aliments (Fournier et al., 2020). »
(Source : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0304389422018040?via%3Dihub)

L’ifremer sonne l’alerte également sur son site : https://www.ifremer.fr/fr/microplastiques-et-nanoplastiques-quels-impacts-sur-la-vie-marine

Le problème, c’est que l’on trouve également ces microplastique dans l’air pur(?) de nos montagnes… Je vous suggère d’aller lire cet excellent article du CNRS : https://www.inee.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/des-microplastiques-apportes-par-voie-atmospherique-dans-les-pyrenees
Les canadiens, eux, expliquent que l’air serait même une des plus grosse source de contamination : https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acs.est.9b01517.

Alors que faire ?

Vous pouvez vous amuser à filtrer l’eau, je dirai même que je le recommande, mais pour ce qui est de la nourriture et surtout de l’air, je ne vois pas d’autre moyen que d’augmenter la capacité de nos corps à éliminer cette pollution. Des règles d’interdiction et des normes sont en cours pour arrêter cette folie mais il va falloir un moment avant que la planète élimine nos bêtises….

Pour cela, évidement, je filtre mon eau, je mange le plus bio possible et je consomme des suppléments alimentaires qui aident mon corps à se nettoyer et à éliminer toutes les toxines naturelles et les pollutions en tout genre (plastiques, métaux lourds, produit chimique etc).

Vous pouvez trouver ces produits que je vous recommande en cliquant ici mais s’ils ne vous conviennent pas, il faudra que vous trouviez un moyen d’aider votre corps à éliminer ces pollutions d’une manière ou d’une autre.

Personnellement je n’ai jamais consommé de paillettes et j’ai toujours déploré les sur-emballages plastiques inutiles. Mais il faut se passer le message pour le savoir et peut-être finalement réussir à toucher des gens assez influents pour limiter la casse.

Comme toujours, surtout prenez bien soin de vous et merci pour vos partages !

Quand enfant on imaginait l’école de demain…

« Quand j’étais petit, je n’étais pas ce que l’on appelle un bon élève » m’a dit un jour un de mes amis. « Plus j’avançais en âge et plus je séchais les cours, ou dit plus joliment, je faisais l’école buissonnière » rajouta t-il en souriant.

C’était aussi mon cas et cette attitude était perçue comme problématique par mes parents et mes professeurs. Mais aucun d’eux ne s’est, il me semble, jamais vraiment posé la question de la cause réelle de mon rejet de l’école.

Mais dans un système où la conformité est valorisée, où la créativité est jugée négativement, stigmatisée comme un comportement à corriger plutôt que comprise comme l’expression d’une volonté légitime différente, il parait difficile de faire évoluer la société comme cela doit être naturellement le cas.

Dans mon esprit, et comme beaucoup d’autre, je percevais déjà intuitivement ce que beaucoup d’adultes commencent seulement à réaliser aujourd’hui : l’aspect déshumanisant d’un enseignement déconnecté de l’essentiel, vide de sens et abrutissant.

Cette sensibilité, que d’autres ont eu à cette même époque permet de ressentir la différence entre un enseignement vivant, agréable et moderne face à une transmission des savoirs obsolète et inefficace.

Pendant que les autres enfants apprenaient à mémoriser des formules sans en comprendre le sens, je cherchais toujours l’utilité de ce que l’on essayait de m’enfoncer de force dans le crâne. Ne voyant pas la raison de retenir ce que l’on cherchait à m’apprendre, les informations avaient l’air de rebondir vers l’infinité du cosmos me laissant toujours plus pensif et confus. Qu’est-ce que j’aurais pu gagner comme temps si quelques réponses appropriées avaient été données à mes questionnements d’enfant…

Cette expérience personnelle de mon ami et de moi-même décrit parfaitement le chemin de tous ceux qui se sont sentis différents, voir inadaptés. Cela nous indique l’importance de créer un monde meilleur pour nos enfants et nos petits enfants, c’est à dire, mieux adapté.

Aujourd’hui, le constat est clair : notre système de transmission des savoirs est en échec.

Aujourd’hui et dans trop d’écoles, les mathématiques, les sciences, la littérature, aussi magnifiques que puissent être ces matières, sont souvent enseignées de manières rébarbatives et détruisent l’envie naturelle qu’ont les enfants à l’apprentissage brisant leurs désirs de curiosité comme le font les vagues sur les récifs d’Étretat.

Seuls quelques professeurs, encore un peu libres et passionnés par leur domaine de savoir parviennent à transmettre un petit quelque chose à leurs élèves et ce malgré un système agonisant qui recherche de plus en plus à les contraindre à l’encontre de toute forme de bon sens.

Cela soulève une question importante : aujourd’hui, quelle est la définition d’un élève modèle ? Est-ce vraiment une vertu d’apprendre par cœur une multitude d’informations dont nous ne comprenons rien ? Est-ce vraiment le plus important pour un être que d’avoir des bonnes notes uniquement par le fait d’une obéissance aveugle (être toujours bien à l’heure, faire et rendre ses devoirs même si l’on n’a rien compris, être sérieux à en pleurer de tristesse pour ne pas déranger les autres, etc.) ?

Si aujourd’hui la résistance à l’école, au collège et au lycée venant des élèves produit 80% d’échecs scolaires, et cela pourrait être pire si le niveau d’exigences n’avait pas été baissé, on peut conclure que ce système est en panne, que la machine à transmettre les savoirs est inopérante, inefficace et obsolète.

Dans une usine qui produit 80% d’échecs, l’industriel intelligent chercherait à adapter ou réparer sa machine, pas à traiter ses ouvriers de nuls.

Non, les enseignants ne sont pas nuls, ils sont juste face à des méthodes de transmission de savoir obsolètes imposées, dans un système dépassé face à une jeunesse qui a juste besoin que l’on ne casse pas sa créativité et qui ne veut plus apprendre de manière rébarbative et désagréable des savoirs dont ils ne comprennent pas l’utilité.

Aujourd’hui, les enfants d’hier que nous étions, sommes les parents et grands-parents des enfants qui rejettent ce système.

Mais initier une autre réalité et une autre société demande du courage, des efforts et des compétences. C’est ce qui a été fait par la création de l’école alternative de Préchac sur Adour. Cela est donc possible.

Toutefois, si l’on veut permettre aux familles d’accéder à ce type d’école en fonction d’une mentalité, d’un état d’esprit et d’une recherche de transformation sociétale qui apporte une plus-value à l’ensemble, il faut que les tarifs restent raisonnables et soient accessibles via une tarification en fonction des revenus. Ceci nous amène à devoir trouver systématiquement des fonds extérieurs supplémentaires. A ce propos, vous pouvez nous aider en faisant un don en cliquant ici (merci d’avance) et je précise qu’il n’y a que des mécènes, chaque euro comptant comme une pierre à l’édifice que nous élevons.

J’imaginais, quand j’étais enfant, une école respectueuse des élèves, une école à taille humaine, une école où l’on se sent bien. Une école où l’on apprend des choses utiles. « Tout ce que l’on apprend à l’école est utile », je l’ai compris en sortant de l’adolescence mais c’est la façon d’apprendre, l’environnement, la méthode de transmission des savoirs qui fera la différence.

Une école à taille humaine où la bienveillance (à ne surtout pas confondre avec le laxisme) est possible et permet d’apporter aux enfants des compétences pour affronter la vie avec succès.

Et vous, quand vous étiez enfant, vous auriez aimé quel type d’école ?

Merci de m’avoir lu, merci pour vos réponses, vos commentaires et vos partages. Surtout, prenez bien soin de vous et de vos enfants, la bienveillance est aussi quelque part par là !

L’IA et l’intelligence vivante du tout

Il y a des gens qui ont peur de l’IA et pourtant…

Il n’y a pas d’intelligence artificielle. C’est impossible car il n’existe qu’une seule intelligence, celle du Tout.

L’homme n’est pas intelligent. Croire que l’on est intelligent est une erreur. Ce qui nous rend intelligent c’est la connexion à cette intelligence du Tout.

Ce qui fait qu’une personne est vue comme étant plus intelligente qu’une autre est en réalité une illusion. Ce que l’on voit, en réalité, c’est l’effet de la connexion à l’intelligence vivante du Tout.
Une personne n’est donc pas plus intelligente qu’une autre, elle est juste mieux connectée.

Ce qui est appelé « IA » n’est qu’un agrégat de protocole appelé logarithme. C’est un enchainement de programme et de routines informatiques qui fonctionnent comme le ferai le cerveau.

Certaine personne sont dites très intelligentes parce qu’elles sont en réalité très cultivées. Elles sont comme des encyclopédies ambulantes alors elles ont dans leurs cerveaux beaucoup de données et de savoir.
Mais cela n’a rien à voir avec l’intelligence.

Une personne très cultivée peut se connecter à l’intelligence vivante du Tout. Alors d’un seul coup elle devient « intelligente ».
Une machine restera comme une personne très cultivée sans aucune connexion. Elle ne deviendra jamais intelligente.
Elle n’a pas l’organe lui permettant la connexion.

Je sais que la peur a envahit certain esprit. Ils croient que l’IA pourrait remplacer l’humain et le supplanter, décider à sa place et prendre le contrôle.
Cela n’est possible que si l’humain le décide car l’IA ne restera toujours qu’une machine, qui ne réfléchit pas, qui recrache comme ce qui est appelé à tort « bon élève » ce que ceux qui l’ont programmé on décidé qu’elle recrache.
Elle fait juste ce pour quoi elle a été conçue.

Les radars sur les routes distribuent des punitions automatiques en fonction de la vitesse.
Les ascenseurs vous amènent à l’étage que vous avez programmé.
Les voitures autonomes suivent un programme qui leur a été inculqué dans leurs processeurs.

Le danger n’est donc pas l’IA mais ceux qui l’on conçue pour obtenir notre pouvoir.

L’IA reste un objet, mais elle peut devenir une arme qui peut être utiliser par certains pour voler le pouvoir des autres et les asservir.
Le vrai danger, c’est de croire qu’elle est supérieure, qu’elle est intelligente car alors cette illusion déconnecterai encore plus l’humanité de l’intelligence du Tout et de cette réalité que derrière l’IA, il y a des gens.

Il est impératif de rappeler que cette IA n’est qu’une grande encyclopédie, la peur de cet objet ne doit pas faire partie de notre agenda.
Par contre il faut rappeler à ceux qui confondent intelligence avec savoir qu’une machine restera qu’une machine sans intelligence, sans discernement, sans ressentie. Elle est programmée pour une tache ou plusieurs taches mais ne sera jamais capable de réflexion métaphysique.

Samhain ou l’origine d’Halloween

Je vois tellement d’idioties concernant Halloween que je me suis dit que finalement, un article sur la question devient nécessaire. Comprendra qui peut ou qui veut. Alors pour certains Halloween serait une fête sataniste… J’y reviendrai.

En premier lieu, il faut connaitre la roue de la vie utilisée dans ce qui est appelé « l’ancienne religion » et dont vous trouverez une représentation juste en dessous. Cette roue de la vie, c’est la roue des cycles terrestres que sont les saisons et des cycles solaires que sont les équinoxe et les solstices. Les énergies solaires ou cosmiques sont les énergies du masculin sacré de la planète alors que les énergies telluriques viennent du féminin sacré.

A gauche la roue de la vie avec le cycle des quatre saisons de la planète et les cycles solaires formant les huit sabbats.

La fête de Samhain est devenue Halloween mais alors que fête t-on normalement le 1er novembre ?
La fête se divise en trois partie :
1/ Le 31 octobre, nous fêtons la fin de l’été et le 1er novembre le début de l’hiver. C’est le moment où les énergies des graines qui sont tombées vont se diriger vers la terre. C’est le milieu de l’automne.
2/ Le 31 octobre nous faisons le deuil de ceux qui nous ont quitté au cours de cette année et le 1er novembre nous fêtons ceux qui arrivent. Ce n’est pas rien : des ancêtres vont se réincarner d’où l’importance de fêter dignement leur arrivé. Et voila également une excellente raison de traiter les enfants avec dignité, respect et sagesse.
3/ Et enfin, nous exorcisons nos peurs car quand la peur entre dans notre être par un petit « ah » court, sec, rapide et aspiré, elle doit ressortir par des grands « Ah Ah Ah Ah » longs, gras et expirés. Alors autant faire cela avec un peu d’humour. Il s’agit donc bien là, non pas d’invoquer les esprits malins, mais de les chasser, de les renvoyer sur leurs plans d’existence car c’est aussi le moment où le voile entre le monde des esprit et le monde terrestre est le plus fin.

Et donc, certaines gens y voient des rituels sataniques… rappelons que ce sont des gens de cette religion qui ont brulé des druides, des herboristes et des femmes seules à une époque pas si lointaine sous prétexte de sorcellerie. Je n’ai d’ailleurs jamais compris comment la masse des personnes de l’époque est restée « spectatrice »..
Ils se prosternent devant des tombes tous les ans sans jamais souhaiter aux personnes qui sont parti de sortir du cycle de la souffrance et de la réincarnation. Un fait encore plus étrange, la naissance de leurs saints correspond à leur mort…

Ils suivent leur religion et je n’ai rien contre ces gens qui se prosternent devant le massacre d’un homme qui disait « aimé vous les uns autres », symbole mis en place par Constantin en 400 après la naissance de Jésus (Iéshua ben Youssef) avec un livre qui pour moi n’a rien de sain. Constantin était un romain et Rome fut construite à l’endroit d’un assassina d’un frère.

Ce sont les gens qui voient le mal partout qui deviennent des satanistes en condamnant ceux qui fêtent la roue de la vie. Ce type de vision perverse a donné aux fous tous les prétextes pour massacrer leur semblables à une époque aujourd’hui bien heureusement révolue. Celui qui voit le mal là où il n’y en a pas fini par devenir le mal. Ce qui est intéressant à voir, c’est que cela est valable dans bien d’autres thèmes que celui de la religion.

Donc non, la nuit du 31 octobre au 1er novembre n’est pas dédié aux rituels sataniques dans l’ancienne religion. C’est un moment de recueillement, d’exorcisme des peurs, de festivités et de gratitude à Gaïa, notre mère. C’est aussi la fête de la vie qui arrive et de l’accueil des êtres qui vont naitre.

Alors évidemment, cette fête a été remplacé par la Toussaint, a été rebaptisée Halloween. Il semblerait que les cultures se croisent et se mélangent… Quel mal à cela ?

Et comme je vous l’ai déjà dit dans d’autres articles sur les anciens rites, déconnectez-vous de la société de la désorientation, retrouvez votre libre arbitre, votre pouvoir et prenez bien soin de vous. Joyeux Samahain ! Merci d’avance pour vos commentaires (mis directement sur le blog pour que tout le monde puisse les lire), merci d’avance pour vos partages (plus on est nombreux à savoir et mieux c’est) et à très vite.

Le mandala de l’enfant libre

L’enseignement du mandala est assez simple à priori. En réalité, cela va beaucoup plus loin que le simple rappel à l’impermanence constante qui nous environne. Tout bouge, tout se meut, tout est en perpétuel mouvement selon les principes hermétistes. Cela est vrai et suit un programme précis en fonction de la mentalité.

Vous pourriez dire : « j’ai fait un beau mandala » Pourtant je ne suis pas seul dans cette histoire.

Si vous pensez plus en terme d’harmonie, alors vous verriez que ce mandala est l’harmonisation par ma conscience de ce que m’a donné le mollusque en me laissant sa coquille, l’arbre qui a produit le bois et les pignes de pin, les oiseaux qui ont participé avec leurs plumes, le mouvement de la planète qui permet à l’océan de bouger pour produire le sable et cette liste est non exhaustive.

La mentalité donne l’expression de l’esprit dans le monde phénoménale. Si vous prenez une fleur, ce que vous voyez est l’expression de l’esprit de la fleur en fonction des programmes qui se trouvent dans le mental. Nous allons obtenir une descente dans la matière qui va chercher à s’harmoniser, à s’adapter avec son environnement. Peut-être devrais-je écrire que c’est le monde de la fleur qui cherche à s’harmoniser avec les autres mondes déjà présents. Toutes les fleurs sont des mandalas en quelque sorte puisque nous avons un esprit qui recherche l’harmonisation dans le monde manifesté.

Donc, de là on peut comprendre que le comportement provient d’une mentalité, d’une recherche de s’adapter ou non avec ce qui existe autour de nous. J’aurais pu faire des ricochets sur l’eau avec les cailloux, faire un feu avec les pignes de pin etc… J’ai choisi volontairement de laisser mon enfant libre harmoniser ces matériaux que j’ai trouvé autour de moi pour en faire un mandala.

Dans notre merveilleuse société pleine de devoir et de droit, nous avons tendance à oublier de laisser s’exprimer notre enfant libre. Nous sommes tout le temps en train de vérifier si tout est en règle vis à vis de l’administration, de nos clients, de notre hiérarchie etc… Cela détruit notre joie de vivre à petit feu. Doucement mais surement, comme un organe qui n’est plus utilisé, si on laisse faire, nos programmes « enfant libre » et « joie de vivre » disparaissent dans nos attitudes.

Retrouver la joie d’être, de créer de l’harmonie et de l’embellissement autour de nous est un ingrédient essentiel au bien-être. L’adulte que nous somme se doit d’assurer, comme le faisait nos parents, un environnement de sécurité et de subsistance à l’enfant libre qui est en nous. Mais si cet adulte s’occupe des factures, de l’administratif, du logement, de l’hygiène du corps, etc, c’est l’expression de l’enfant libre à l’intérieur de nous qui assure notre propre bonheur.

L’aspect physiologique de ce type d’attitude s’en ressent dans le corps avec notamment la production d’hormones qui apportent un réel bien-être et permettent la régénérescence cellulaire. Réserver des espaces de temps tous les jours à cette production du corps physiologique a une réelle importance. C’est aussi le travail de l’adulte que nous sommes de « protéger » notre enfant libre de l’effet délétère de notre société qui tend à le faire disparaitre sous une montagne de problème d’une part et en captant notre attention avec des distraction futiles d’autre part. Si on laisse faire, on fini par rechercher par la prise de drogues légales ou non ce bien-être perdu que nous apporte gratuitement notre enfant libre dans son expression.

Donc, surtout prenez bien soins de vous en prenant soin de votre enfant intérieur. Laissez-le s’exprimer avec des activités qui augmentent votre bien-être et améliorent votre vie ! Merci d’avance pour vos commentaires (mis directement sur le blog pour que tout le monde puisse les lire), merci d’avance pour vos partages (plus on est nombreux à savoir et mieux c’est) et à très vite.

Ce qui les rend si puissant…

Il est bon de transmettre ce que l’on sait quand on veut que certaines choses changent. Mais encore faut-il comprendre « comment » le faire et pourquoi utiliser cette façon là plutôt qu’une autre. C’est la raison de cet article dans lequel j’explique ce qui les rend si puissant car notre « élite » est élite par la puissance mais permettez moi de douter que cela soit par la sagesse.

Alors d’où vient cette puissance ? Peut-être auriez-vous envie d’en obtenir et de devenir riche et puissant. Peut-être aussi que quand vous aurez compris, cette idée s’évaporera de votre esprit…

Il y a deux types de puissance. Il y a la puissance « sur » les gens donnée par les gens et la puissance « pour agir » donnée par la source. Dans le premier cas il y a manipulation par les énergies basses et cela passe par le bas astral pour ceux qui connaissent.
Dans le bas astral vous allez trouver toutes les énergies basses :
la peur, la culpabilité, la condamnation, l’agressivité, la souffrance, la haine, le mensonge, la tromperie, l’illusion, la soumission et la domination.
Pour le énergies venant de la source, c’est l’inverse et je vais y revenir.

Prenons l’exemple de Schwab avec son livre « the great reset ». Quelle est la procédure ? C’est pourtant simple !
Avec la peur, il attire les gens et prend une position de pouvoir « sur » les gens. Donc pour savoir ce qu’il mijote, les gens achètent son livre et le rende millionnaire. Puis ils le lisent, contribuant ainsi avec leurs pensées à créer la réalité qu’ils redoutent et que ceux qui se sont auto-proclamés « élites » veulent.
Si vous saviez à quel point ils se marrent en regardant la réaction des gens, vous tomberiez de votre chaise.

La peur tue l’esprit. L’esprit de contradiction et de résistance est éradiqué par le sentiment de peur, le senti qui ment en faisant croire que ces gens sont « puissants » alors qu’ils sont « ordinaires » pour ne pas dire « vulgaires » comme cela est expliqué dans le Yi King. Et c’est parce que les non-initiés, les unbeging (comme ils les appelle), n’ont pas la conscience de ce qu’ils font en lisant et en perpétuant leurs dires que cela peut être. C’est ainsi qu’ils obtiennent leur puissance « sur » les gens.
Pourtant, pour les contrer, il suffit de poser un regard de paix sur leur plan en disant « j’annule » et de faire les actions nécessaires pour que cela soit annulé.

Le pouvoir de la source c’est l’inverse de ce qu’ils font.
Faites avec le cœur et avec amour.
Soyez honnête avec vous même d’abord pour l’être avec les autres ensuite.
Utilisez le pardon qui apporte la rédemption.
Pardonnez-vous à vous-même d’abord, le pardon aux autres viendra un peu après.
Soyez en paix et le plus stable possible émotionnellement pour gérer la situation (appelé également sang froid).
Remplacez la peur par de la confiance en vous ou dans le soi pour réussir.
Ne croyez rien, vérifiez au maximum ce que l’on vous dit. Réfléchir c’est déjà leur désobéir car ils veulent des suiveurs d’ordres, pas des êtres éveillés et conscients qui n’obéissent qu’a leur conscience.
Jetez aux à la poubelle la relation de soumission/domination et remplacez-la par l’humilité et le respect. C’est tellement mieux d’avoir à vos côtés des gens autonomes qui réfléchissent et vous épaulent plutôt que des gens qui vous suivent et vous obéissent.

Lisez les livres de ceux qu’ils veulent faire taire. Louis Foucher a donné beaucoup pour éveiller les autres. S’en est un parmi d’autres. Pensez à obtenir son livre « neuf », cela récompensera ses efforts et financera un meilleur projet que le livre cité au début de cet article. Cliquez ici.

Dans mon livre, je propose des solutions que nous sommes en train de mettre en place.
Alors je sais que beaucoup sont conditionnés à ne pas faire de politique. C’est aussi ce qui les rend puissant : ne pas s’occuper des lois, c’est ne pas s’occuper de ce qui sera imposer à tous par ces gens.
Ne confondez pas « appartenir » à un groupe politique appelé « parti » qui vous « soumet » à une ligne politique et « s’occuper de ses affaires » en prenant part à la vie politique. C’est d’ailleurs ce qu’il redoutent le plus : que les gens récupèrent leur pouvoir de la décision sur « leur » vie.
Ils veulent des gens obéissants qui ne discutent pas leurs ordres et ne réfléchissent pas. La sagesse ne consiste pas à se taire et obéir mais à faire des actions justes.
A ce propos, vous pouvez obtenir mon livre en cliquant ici.

Vous pourriez vous poser cette question : que fait un tel article sur un blog sur le bien-être ?
C’est pourtant simple. Je ne vois pas comment on pourrait être bien dans une société malade de ces lois qui nous pourrissent la vie. Et si cela est, c’est parce que nous laissons faire. Si vous lisez mon livre, vous comprendrez qu’il ne s’agit pas de demander gentiment à ceux qui veulent nous diriger et être nos maitres de changer quelque chose dans une société qui, à l’évidence, leur convient parfaitement.
Il s’agit d’initier une situation de bien-être pour nous et les nôtres, cela devant se faire à la base et par la base sans laquelle il ne peut y avoir de sommet.

Il m’apparait comme « impossible » que le bien-être puisse émerger d’une société basée sur l’asservissement et la peur. Les temps sont à la reprise en main de nos vie afin d’assurer nous-même notre propre bonheur et celui de nos enfants. Merci d’avance pour vos commentaires (mis directement sur le blog pour que tout le monde puisse les lire), merci d’avance pour vos partages (plus on est nombreux à savoir et mieux c’est) et à très vite.

Litha, le solstice d’été et le confusionnisme…

J’avais d’autres articles à faire « avant » celui-ci, mais finalement je les ferai plus tard tellement il m’apparait important d’apporter ma contribution au merveilleux monde des calinounours dans lequel nous nous trouvons.

Non, le solstice d’été n’est pas le premier jour de l’été… Ceux qui ont lu mon article sur Beltane, comprendront mieux ce que j’écris. (cf Le re-père). Mais quoi de mieux que l’arme de la confusion et de l’obscurantisme pour déstabiliser les gens ? Et évidement , quand vous avez perdu vos repères, que vous êtes dans la confusion, votre esprit à des difficultés à discerner le vrai du faux et c’est tellement plus facile de manipuler une personne dans un telle situation.

Oui, c’est le jour le plus long et la nuit la plus courte. Mais il s’agit du cycle solaire et non du cycle planétaire et saisonnier. Mais elle reste une fête très importante puisque c’est le moment où l’on charge le bâton de Lug que l’on plantera au milieu du potager (à défaut d’un champs ^^) le jour de la fête des premières récoltes du 1 août, jour du début de l’automne, de la fin du printemps et du milieu de l’été.

Mais revenons à Litha. Je ne sais pas du tout d’où vient le nom de cette fête. La pratique est simple :
Vous tracez un cercle le 20 au soir, vous plantez le bâton au sud, vous remercie les éléments et les esprits de charger ce bâton, vous ouvrez le cercle et vous récupérez le bâton chargé le 21 au soir en remerciant les éléments et les esprits.
C’est aussi ce jour que la cueillette des plantes médicinales s’effectue, leur pouvoir étant décuplé par votre pratique et les énergies solaires.

Il faut comprendre que c’est la position de la planète par rapport au soleil qui fait que le temps d’ensoleillement est plus grand, plus petit ou égale à la nuit. (source du graphique cliquez ici).

Quel rapport avec le bien-être ? C’est pourtant simple. Quand vous avez une certaine connaissance des flux énergétiques, que vous les comprenez et que vous savez les utiliser, la vie devient plus claire et plus simple. Mais si vous ne savez pas, vous êtes constamment dans l’inconnu.. Donc dans le questionnement, dans les interprétations hasardeuses etc.. Pas très rassurante comme situation non ? Par contre, si vous suivez le cycle naturel, que vous vous connectez aux énergies, vous travaillez votre spiritualité au bon moment, vous plantez les végétaux quand il faut, taillez les arbres au meilleurs moments etc…

Vous avez le rythme planétaire et vous êtes stables. Vous savez que les temps de sécheresse amèneront l’orage l’année suivante pour que la planète se décharge des énergies surnuméraires et s’équilibre. Vous ne croyez plus les billevesées des médias, des prêtres et autres manipulateurs divers et variés. Et cela vaut aussi pour votre propre cheminement personnel.

Donc oui, c’est le moment de se charger avec les énergies du père (le soleil) et viendra ensuite le temps de les diffuser. Ces énergies cosmiques, ont été choisie par la planète via son champs électro-magnétique exactement comme l’ovocyte choisi le spermatozoïde qui lui convient le mieux. Le mariage parfait du masculin et du féminin sacré c’est quand le masculin propose et que le féminin dispose.
Le solstice d’été est aussi le jour où les énergies cosmiques sont les plus fortes. Aussi, dans un souci d’équilibre, les énergies telluriques exprimées par la planète sont plus fortes également.
Mais avez-vous notez que même si c’est la journée où la nuit est la plus courte et le jour le plus long, ce n’est pas le moment le plus chaud. Le moment le plus chaud c’est entre le 15 juillet et le 15 août qui est le milieu de l’été. Ce qui prouve bien qu’il faut faire la distinction entre le cycle solaire et lunaire cosmique des équinoxes et des solstices d’une part, et le cycle planétaire tellurique des saisons d’autre part.

Trois jours pour la méditation. Trois jours pendant lesquels se charger de l’énergie du ciel et de la terre, cosmique et tellurique, permet de préparer le corps physique pour le reste de l’année. Mais aujourd’hui, il y a t-il encore quelqu’un pour respecter ces cycles et ces pratiques ? OUI mais encore faut-il en connaitre l’importance.

Quand aux feux de la Saint Jean, alors que j’étais à Perpignan, on m’expliqua qu’ils servaient à vérifier si le système d’alerte face à une invasion fonctionnaient. Rien à voir donc avec les feux de Beltane..

Rappelez-vous, si vous désirez faire ce type de rituel que nous sommes à l’heure industrielle, celle de Berlin en fait… Donc pour être synchrone, vous commencez au coucher du soleil le 20 et terminez au coucher du soleil le 21. Si vous voulez tracer un cercle, afin de connaitre le nord planétaire différent du nord magnétique, il vous faudra calculer l’heure de midi solaire pour cela afin de suivre l’ombre du bâton au bon moment.
Vous pouvez le faire en allant sur le site de l’académie de Bordeaux en cliquant ici.

Et comme je vous l’ai déjà dit dans article sur Beltane, déconnectez-vous de la société de la désorientation, retrouvez votre libre arbitre, votre pouvoir et prenez bien soin de vous. Bonne méditation ! Merci d’avance pour vos commentaires (mis directement sur le blog pour que tout le monde puisse les lire), merci d’avance pour vos partages (plus on est nombreux à savoir et mieux c’est) et à très vite.

Le bien-être dans la société

Je pourrai commencer par cette question : le bien-être, dans cette société, est-il possible ? Alors une autre question arrive : qu’est-ce que le bien-être ?

On peut utiliser la loi de la polarité décrite dans le Kybalion (que vous pouvez télécharger gratuitement ici) pour répondre à cette question. La loi de la polarité est un concept qui consiste à considérer que toute chose et son contraire ne font qu’un sur une échelle d’évaluation. Par exemple, le chaud et le froid sont une seule et même chose appelée « température » et qui se mesure sur un thermomètre. Donc, finalement, le froid c’est juste l’absence d’énergie et ce que nous appelons « froid » n’est que la sensation de la transmission de l’énergie de notre main vers l’objet que nous ressentons à son contact. De la même manière, ce que nous appelons « chaud » n’est que le transfert d’énergie de l’objet vers notre main.

De même, on peut donc dire que le si le froid est l’absence d’énergie, le mal est l’absence de bien.

Du coup on peut se poser cette question : quelles sont les énergies du bien ou quelles sont les énergies qui nous font du bien ? Pour ce qui est du corps humain, ce sont des mémoires sensorielles qui vont déclencher des hormones précises. Ces hormones vont nous stresser ou nous rendre euphorique. Les hormones du stress arrivent par un manque de stabilité émotionnel qui va créer de la peur, de la culpabilité, de la rancune, de la rancœur, de l’agressivité, des envies de punitions ou de condamnation, ou encore le fait de se sentir en danger et pardon si j’en ai oublié. Les hormones qui nous font du bien sont déclenchées par le sentiment de sécurité, le fait de se sentir aimé, d’aimé, d’être écouté, d’être pardonner de nos erreurs etc…

La physiologie du corps change, c’est physique. Le bien être est donc une énergie faite d’information, de sensation, de ressentis physiques et physiologiques puisqu’il y a production d’hormone et donc d’une biochimie précise qui vont créer le bien-être ou le mal-être. On vous a déjà évoqué l’importance de voir ce que le « mal-à-dit » et son résultat ?

Peut-être faites vous parti des gens qui critiquent la société et si c’est le cas c’est une excellente chose car sans critique pas de jugement et sans jugement pas de discernement. Mais attention, critiquer la société et commencer à condamner les gens est inutile et peut créer beaucoup de mal-être. Par contre, la critiquer et vouloir initier une autre réalité par ses propos et dans ses actions est hautement bénéfique.

Prenons un exemple individuel : admettons que vous critiquiez la société dans laquelle vous travaillez. Le voir c’est bien. Le dire c’est mieux. Mais ne rien faire pour sortir de la situation c’est se condamner à rester dans le mal-être. Quand on se sent mal, c’est qu’il y a nécessairement une action à faire pour amener du bien. Cela peut être en proposant une solution ou en trouvant un autre travail. Mais rester dans la situation et se plaindre créé encore plus de mal-être.

J’ai écrit ce livre afin de dénoncer d’une part les causes du mal-être sociétale et d’autre part l’importance de reprendre les rênes de nos vies à ce niveau pour initier une société plus juste et plus humaine.

J’ai écrit ce livre, parce que je me suis aperçu, lors de mon passage en politique, que les personnes en place étaient des gardiens du système et que si nous voulions une amélioration , il allait falloir la faire nous même.

Nous sommes piégé dans un système idiocratique qui nous empêche d’évoluer, de nous réaliser et qui absorbe le temps qui nous est imparti pour travailler sur nous et nous épanouir dans une spiritualité. Très jeune, il s’opère un conditionnement sur l’individu créant un mal-être et permettant sa manipulation. il y a vraiment importance à en prendre conscience et à en sortir.

Je ne suis pas entré dans les détails pour ce qui est de ce qui se passe dans l’invisible. Mais croyez bien que cela nourri certains égrégore et certaines choses et qu’il est temps d’arrêter de mettre notre énergie dans des luttes qui permettent aux anciennes énergies de continuer à être et à nous rendre mal.

Je sais que certaines personnes vont me dire ou se faire la réflexion que ce qui est proposé n’est que l’aménagement de la prison, ou encore la transformation du rêve pour qu’il soit plus agréable est elles ont raison. Mais pour sortir du samsara, il faut peut-être initier une société ou on a le temps de pratiquer. Nous sommes au vingt-et-unième siècle, nous avons tout pour y arriver mais ce ne sont pas les gens qui jouissent des anciennes énergies qui vont le faire à notre place. Ces énergies, de toute façon sont en train de disparaitre. Notre société est en train de faire sont œuvre au noir. Elle renaitra de ses cendres assurément. Mais elle devra renaitre après que ses cendres aient été lavé à l’eau de source.

Ce travail d’initier une nouvelle société, c’est aux personnes qui se disent « éveillées » de le faire. Ce ne sont pas les personnes qui croient pouvoir continuer à vivre sur l’ancien qui feront quoique cela soit. Peut-être certains nous accuseront-ils d’être la cause de leur problème alors que nous sommes la solution. et que nous l’apportons. Les écoles alternatives sont, par exemple, dans certains cas mal vue. Pourtant elles remplacent juste les écoles publiques que l’on nous a enlevées et que l’on ne nous remettra pas.

L’heure de l’émancipation à l’obscurantisme à sonné. Peut-être trouverez vous ce livre un peu trop politique à votre goût. J’en suis désolé. Mais les agents de l’obscurantisme utilisent les lois et les règles pour asservir les gens. Ils ont brulé et emprisonné des femmes sous prétexte de sorcellerie alors quelles guérissaient les gens. ils ont assassiné ceux qui osaient dire que la Terre n’est pas le centre du monde et qu’elle est ronde. La réalité est que notre planète s’appelle Gaïa ou Urantia le terme « terre » est très limitatif et fait parti des nombreuses manipulations mentales par la sémantique que je dénonce dans ce livre. Vous pouvez en lire les premières pages gratuitement en cliquant ici.

Comme je l’ai écrit plus avant, je n’aborde pas le côté spirituel dans ce livre. Cela serait beaucoup trop long et quand on commence à aborder ce qui est invisible, beaucoup de gens sont conditionnées à ne plus écouter. Donc j’aborde le sujet sur la société de manière très pragmatique. Toutefois il est essentiel de connaitre les armes de manipulation de masse pour ne plus en être victime. Ne plus se laisser avoir par leurs stratégies d’asservissement et de manipulation de masse c’est déjà être un initiateur de la nouvelle société qui est train de naitre.

Je dis et j’écris très souvent : Surtout prenez bien soins de vous et pour répondre à la question posé en début d’article, je doute que le bien-être soit possible dans une société d’asservissement. Les temps sont à la reprise en main de nos vie afin d’assurer nous-même notre propre bien-être et celui de nos enfants. Merci d’avance pour vos commentaires (mis directement sur le blog pour que tout le monde puisse les lire), merci d’avance pour vos partages (plus on est nombreux à savoir et mieux c’est) et à très vite.

Le re-père (Beltane)

Le 1er mai évoque peut-être pour vous la fête du travail.. Pourtant l’étymologie du mot « travail » est « torturer » avec sa conséquence qu’est la souffrance… (source : cliquez ici). Donc, non, je ne fête pas le travail…

J’évoque ici le repère, c’est à dire ce qui revient vers le père, le masculin, l’esprit. Donc si on revient à l’esprit du 1er mai, on revient à la fête de Beltane., c’est à dire le dernier jour de l’hiver, le premier jour de l’été et le milieu du printemps…

Ci-contre la roue de l’année de l’ancienne religion qui était une religion d’ancrage avec des repères basés sur la nature, les saisons et le cycle solaire.

Notre problème actuel est le manque de repère. Nous avons midi solaire à 14 heures par exemple… Les saisons sont sectorisées et n’ont plus imbriquées. Il n’y a plus de rituel. Les rites de passage sont laissés à l’appréciation des adolescents qui font mille et une bêtise pour se sentir homme ou femme et passer à l’age adulte.

Et que dire du sacrifice animal, fait dans le plus grand respect avec les rituels de passages remplacé par cette tuerie animal de masse ? Abattu à la chaîne sans aucun respect, l’animal devenu une marchandise qui est jeté à la poubelle quand elle est invendu… Les meubles et les planches de bois rapportant un maximum de monnaie ont remplacé, dans la tête des industriels, l’être vivant qu’est l’arbre…

Je fais cet article car je crois qu’il est temps de remettre un peu de repère dans notre société. Des repères qui apportent des valeurs, du respect, de la connaissance et du bien-être.

Beltane c’est le premier jour de l’été, le milieu du printemps et la fin de l’hiver. C’est aussi la fête de l’union des êtres, de la sexualité et le fertilité. C’est l’ancien Saint Valentin mais avec une valeur supplémentaire : on reprend ses vœux de mariage, on se rappelle ses engagements, ses devoirs envers sa famille,

Respect, devoir, famille, engagements, sexualité, valeur, mais que de mots devenus grossiers dans notre société où l’homme vulgaire a prit la place de l’homme noble comme le décrit le Yi King… Si vous lisez ces lignes, chassez l’homme vulgaire de votre esprit et trouver celui de la noblesse afin de servir votre féminin sacré. Vous verrez alors comme cet effort, cet « effet de l’or », embellira votre vie.

Aujourd’hui, nous vivons dans la société de la communication où les gens n’ont jamais aussi peu communiquées… A moins de le faire via un smartphone, derrière des pseudonymes et un anonymat qui « protège ». Mais qui protège de quoi ? Le courage de défendre ses idées et ses valeurs s’est évaporé. Facile, il me semble également de s’attaquer au messager en l’absence d’arguments concrets qui contredisent le message avec véracité.

Je l’ai déjà évoqué dans un autre article, la perte de la connexion à la nature, à la planète, au cycle solaire sont catastrophique. Elle détruit l’esprit du respect et de l’harmonie. Comment arriver à être bien dans sa peau quand on est en dysharmonie avec le reste du monde ? C’est impossible bien-sûr !

Retrouver des repères calqués sur les rythmes naturels permet d’augmenter considérablement sont bien-être intérieur. Par l’exemple d’une telle discipline, discipline dans le sens « voie d’évolution et d’expérimentation », on peut « se » retrouver soi-même. Les Sabbats païens sont des pauses et des moyens reconnexions. Ils servent à se rappeler que tout à un rythme et permettent de se connecter aux rythmes naturels. En suivant les rythmes de la nature, tout de suite, on est en harmonie et donc on se sent mieux. Et dédier un jour par semaine à la pratique spirituelle est une nécessité pour se poser d’autant plus grande que notre société es devenue stressante à toujours nous tenir en haleine.

Il faut savoir dire STOP pour devenir un observateur bienveillant qui pose sur le monde un regard de paix. Et pour y arriver on a besoin de repère et donc d’une pratique spirituelle. La société industrielle à casser tous les repères et nous avons donc des gens qui sont perdues. Quand vous êtes perdu vous êtes facile à manipuler n’est-ce pas ?

Par notre exemple, nous pouvons initier une nouvelle société en y remettant des valeurs nobles, du respect, des rituels qui ancrent, des repères pour être plus stables émotionnellement etc. Ce n’est pas la société qui fait que nous sommes ce que nos sommes c’est l’inverse ! La société est ce qu’elle est par ce que les gens sont ce qu’elles sont. Vous êtes, je suis, nous sommes l’ensemble de ces gens. pour qu’un groupe d’individu appelé « société » change, il faut que chaque individu change et dans cette optique il y a les initiateurs d’un nouveau monde et ceux qui suivent.

Il n’y a finalement que peu de chose à faire. Regarder où le soleil se lève et suivre son cycle ancre et augmente considérablement notre champs de conscience. Se rappeler que le cycle solaire est le mouvement de la planète et pas de notre personne permet d’augmenter la véracité de notre perception de la réalité. Puis prendre des décisions comme le rangement systématique de la maison à l’équinoxe de printemps et d’automne par exemple permettant d’instaurer une discipline douce et efficace. Le rangement de la maison, des papiers administratifs et de notre vie en général c’est s’occuper de soi et cela plante les graines du bien-être. On appelle cela « or »-donner.

Déconnectez-vous de la société de la désorientation, retrouvez votre libre arbitre, votre pouvoir et prenez bien soin de vous. Joyeux Beltane ! Merci d’avance pour vos commentaires (mis directement sur le blog pour que tout le monde puisse les lire), merci d’avance pour vos partages (plus on est nombreux à savoir et mieux c’est) et à très vite.